13 mars 2008

Zéphyr

Valery Larbaud et Samuel Butler, l’un et l’autre, ensemble, et séparément.

Une suave nostalgie déjà au coin du cœur je venais d’abandonner les Enfantines de Valery Larbaud pour les brumes autrement plus rêches de Samuel Butler et de son Ainsi va toute chair. L’un étant traduit par l’autre… blabla...

Et bien sachez que, le Butler terminé, la nostalgie suave ou non, se voit dans le présent bien vérifiable qui nous importe, multipliée par deux. Si le Larbaud n’était que pur délice et zéphyr sur la nuque un soir d’été, le Butler lui est un vrai chef-d’œuvre global et , ce qui n’est pas peu, un vrai grand livre émouvant. Je n’aurais en aucun cas la force et le courage de vous en dire plus, lisez-le…

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