Jeune, con , myope et n’ayant de surcroît jamais trempé la moindre pâtisserie, je confondais Madeleine Renaud et Madeleine Robinson.
22 mars 2009
21 mars 2009
Musical
Gorecki est plus emmerdant qu’une assemblée de néo hippies dégoisant sur les mérites comparés de God speed you black mon fondement et d’Emerson, Lake & Palmer. Le groupe des six est mieux, surtout Germaine.
Publié par Philippe L à 21.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
14 mars 2009
Panthéiste
Lumière d’été, splendeur mordorée.
Le « poétique » est chez Prévert, la poésie chez Grémillon. La lourdeur sociétale chez Prévert, le cosmique et le panthéisme chez Grémillon. Le monde chez Prévert, le monde des sentiments chez Grémillon. Bref des deux il faut préférer Grémillon.
Ps : C’est un grand film malade. Une grippe sournoise avec un virus A facilement localisable : Pierre Brasseur, cabotin plus que de raison.
Nb : Le scénario et les dialogues sont de Prévert (Jacques) le film est de Grémillon (Jean).
Publié par Philippe L à 14.3.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
12 mars 2009
Négatif
Porte bien son non, lacaniserai-je .
Publié par Philippe L à 12.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
11 mars 2009
Poulpes
En plein dans les poulpes de Raymond Guerin. Raymond le septique (Monsieur Hermès, le grand Dab..) les pieds dans la fange d’un stalag peu ragoûtant. Campement à miradors brumeux où l’homme se voit réduit à ses plus inévitables et élémentaires fonctions eupeptiques : un tuyau rien de plus, mais percé le tuyau… Remarquez tout cela tombe bien puisque Guerin est un bon plombier, l’écrivain des sécrétions, le chantre moite des évacuations diverse et variées : sperme, urine, merde, vomi et autres joyeusetés plus ou moins sudoripares…
Outre cette curieuse symphonie, boyaux éructant et membres chuintant, le récit de Guerin est pour l’instant très bien, farci de verve célinienne, comique et plein d’humanité ; l’homme ne se résout pas à se voir ainsi réduit à n’être q’un tuyau pour rien, alors l’homme lutte contre la plomberie, les miradors brumeux, les ombres en bottes luisantes et leurs hordes de canidés éduqués par et pour le mal… On se souviendra de Georges Hyvernaud, Jacques Perret ou Henri Calet ces autres chroniqueurs du stalag bien malgré eux… on n’évoquera pas Primo Levi ou David Rousset c’est une autre histoire… et bien plus que de la plomberie.
Outre cette curieuse symphonie, boyaux éructant et membres chuintant, le récit de Guerin est pour l’instant très bien, farci de verve célinienne, comique et plein d’humanité ; l’homme ne se résout pas à se voir ainsi réduit à n’être q’un tuyau pour rien, alors l’homme lutte contre la plomberie, les miradors brumeux, les ombres en bottes luisantes et leurs hordes de canidés éduqués par et pour le mal… On se souviendra de Georges Hyvernaud, Jacques Perret ou Henri Calet ces autres chroniqueurs du stalag bien malgré eux… on n’évoquera pas Primo Levi ou David Rousset c’est une autre histoire… et bien plus que de la plomberie.
Publié par Philippe L à 11.3.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
4 mars 2009
Rien
Plus je supprime, plus je trouve.
Publié par Philippe L à 4.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
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