On comprend aisément pourquoi Paulhan l'aimait beaucoup : Cingria a la prose toute bizarre ! Une sorte de franco-albanais-turc un peu sybarite et assez singulier. Des assemblages comme on en rencontre peu, des phrases secouées dans une grande boite avant d'être jetées sur le papier. Tout cela est bien curieux, le lecteur peut être décontenancé.
12 février 2018
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