Le cacaoyer planté dans un pot esthétique et fonctionnel aura tout du clown tropical contraint. C’est pourquoi l’esthète qui sommeille en nous devra éviter ce type de fomentations improbables. Dans nos contrées tempérées contentons-nous de modestes fougères, laissons les vivre en plein air, en bord de sous-bois, sans ostentation et supportant sans peine la longanimité de nos regards. Quant aux arbres exotiques, cacaoyers et autres calebassiers, sachons les apprécier chez eux et sur place, un daïquiri dans la main gauche et un havane au coin du bec.
29 décembre 2019
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