La nuit vient de tomber, je souffle astucieusement sur mon Thé chinois en espérant que cet adroit subterfuge géostrophique l'attiédira plus rapidement que ne le prévoient les trop fameux principes de la thermodynamique. En même temps je lis un poème de Jean Follain où il est question d'un moellon violâtre qui mal pris dans son ciment se fendra sous le gel. Tout cela est bien périlleux, j'aime vivre dangereusement.
9 novembre 2017
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