1 juillet 2008

Nada

Le diariste rappliquant sans crier gare, la période est à nouveau à Manchette. Convaincu par le brouhaha circonvoisin je me suis donc autorisé un réexamen.

- Au hasard, Balthazar tenez tenons Nada par ses maigres flancs !

Et bien même tenu par deux tordus en goguette , il n’y a toujours rien à jeter dans et de Nada ; c’est encore cette mince brochure truculente tout autant que sèche , pleine et vive, orgueilleusement assurée dans ses traits, croquignolette dans sa brutalité, bienheureusement misanthrope et finalement terriblement seventies dans le bon sens ; à savoir, sans moraline mais avec un minimum d’éthique et un extremum de baignoires crasseuses. Bien autre chose que le chatoyant alter lance pierres à catogan sponsorisé par les shampoings équitables.

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