23 septembre 2009

Giscardien

C’était bien avant son pilier fatal et les apéros chez Monsieur Paul… Nous nous étions croisés sur un escalator des magasins C&A, elle montait, splendide et clandestine, je descendais, plein de phéromones... Un simple regard partagé avait suffi pour que notre coup de foudre soit mutuel et quasi instantané (mon magnétisme, son nez ?) Comme aimantés nous nous étions ensuite retrouvés au rayon lingerie puis assez vite à l’intérieur d’une cabine d’essayage où bientôt je la besognais tout en lui susurrant des choses indignes...

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