29 septembre 2009

Houellebecquien

Solo de Michka Assayas. Pas mal, mais pas transcendant... On trébuche souvent sur le romanesque (les clés du roman à clé) l'arrière-goût houellebecquien et le coaching corrélatif de chez Grasset (photo espiègle et bandeau ad hoc). Néanmoins, entre deux trébuchements inopportuns, reste quand même du bien : les « thèses » de Guy Debord défendues par un François Nourissier encore un peu gamin, cette ironie grise, cette malice poisseuse....

N. B. Michka s’invente (se libère, on trébuche moins ) sur la fin où on sent qu’il pourrait éventuellement devenir un « vrai » écrivain (Il faudrait qu’il « tombe » malade).

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