5 février 2008

Monsieur l'Ambassadeur

Sachant que Monsieur l'Ambassadeur est grave tordu il est toujours plus aisé de l’aborder par d’infimes fractions homéopathiques. Le périlleux casse-cou qui le commencerait en se frottant à son consubstantiel soulier satiné - tout en prévoyant l’autre - risquerait de sombrer dans une obscure léthargie à l’ombre des piliers.


«...Il y a quelqu’un qui m’a enfoncé les doigts aussi loin qu’il peut dans la bouche et je vomis. De temps en temps il vient des morceaux d’homme de lettres : que voulez-vous que j’y fasse ? Et cette poussée, cette acclamation torrentielle de temps en temps, cette vocifération, ça va tout seul, en ordre, en désordre, comme une armée qui remplit le ciel et la terre... Explosion. Une série d’explosions quelquefois ! »

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