28 décembre 2009
Précis
Publié par Philippe L à 28.12.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation, Rainette Gluante, Sports et divertissements
27 décembre 2009
Historien
P.-S. Himmler élevait des volailles bavaroises, Goebbels avait le teint bistre et un pied bot. Goering ressemblait à un cochon antipathique (que les cochons antipathiques m'excusent). Ah oui sinon, lire Ian Kershaw...
Publié par Philippe L à 27.12.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
22 décembre 2009
Sage
Publié par Philippe L à 22.12.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
21 décembre 2009
18 décembre 2009
Chafouin
Publié par Philippe L à 18.12.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
15 décembre 2009
Courtois
« Il avait dû saluer les demoiselles Skinner et il avait eu chaque fois l'impression que la terre s’ouvrait sous ses pas au moment où il soulevait son chapeau. »
(Samuel Butler, Ainsi va tout chair)
Publié par Philippe L à 15.12.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
14 décembre 2009
11 décembre 2009
Equitable
Publié par Philippe L à 11.12.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
8 décembre 2009
Virginale
Publié par Philippe L à 8.12.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
7 décembre 2009
Blême
« Il savait que les pleurs viennent d’un mouvement particulier des petites glandes qui sont sous les paupières, et qui sont agitées par une procession d’atomes sortie du cœur, lorsque le cœur lui-même a été frappé par la succession d’images colorées qui se détachent de la surface du corps d’une femme aimée. Il savait que l’amour n’est causé que par le gonflement des atomes qui désirent se joindre à d’autres atomes. Il savait que la tristesse causée par la mort n’est que la pire des illusions terrestres, puisque la morte avait cessé d’être malheureuse et de souffrir, tandis que celui qui la pleurait s’affligeait de ses propres maux et songeait ténébreusement à sa propre mort. Il savait qu’il ne reste de nous aucun double simulacre pour verser des larmes sur son propre cadavre étendu à ses pieds. Mais, connaissant exactement la tristesse et l’amour et la mort, et que ce sont de vaines images lorsqu’on les contemple de l’espace calme où il faut s’enfermer, il continua de pleurer, et de désirer l’amour, et de craindre la mort. »
(Marcel Schwob, Lucrèce, Poète)
Je crois me souvenir que Deleuze dans ses conversations avec Claire Parnet (abécédaire) affirmait détester l’érudition paonnante, l’érudition n’étant qu’un outil au service d’une pensée et rien de plus, Deleuze dézinguait Umberto Eco par exemple … Voilà tout ça pour dire que Schwob lui était un grand érudit , qu’il faisait très bien la roue même par temps sec et que merde quoi toutes ces choses savantes étalées n’étaient qu’au service de la magie du texte , qu’un facteur déclenchant, mais primordial !
Schwob érudit surdoué adolescent pratique le sanscrit, l’argot du moyen âge et couramment un troupeau de langues mortes ou vivantes, le tout avec cette tête blême presque bizarre qui le voit échouer de hautes études (normal bidule) pour finir journaliste ! Il sera chroniqueur et critique littéraire avec tout ce qu’il sait le bougre, c’est bien vain ! Schwob sera par exemple dans ses petites activités rémunératrices le grand défenseur de Stevenson … son écrivain, son frère d’armes anglo machin avec qui il aura tellement de point commun (à l’époque et dans leurs postérités respectives) … Donc Schwob fait le zigoto dans les journaux et trainouille dans le monde littéraire ; on le voit chez les Goncourts , Gide lui tourne autour (et lui volera beaucoup) , il fait la nouba blême avec Jean Lorrain et un Anglais bizarre aussi … Oscar Wilde … Pourtant un peu à côté de l’accessoire Schwob poursuit un chemin plus adhérent avec lui-même … Il publie un recueil d’articles « Spicilège » où il parle de François Villon , de la coquille et en règle générale des criminels blêmes, eux aussi … Il parle également et toujours beaucoup de Stevenson … La discrète machine littéraire est en route… Suivront deux trois choses avant les « Vies Imaginaires » qui devrait m’occuper (je m’égare c’est une manie) notamment un voyage dans les mers du Sud dans les traces de Stevenson (c’est une manie) et un mariage avec l’actrice Marguerite Moreno de chez Guitry ; vous voyez « Le Roman d’un Tricheur » la comtesse évaporée ? C’est elle.
Bon, Dieu me tamponne, recadrons les débats ! « Les Vies imaginaires » ! Que fait Schwob de son érudition ? Et bien on dira qu’il brode … et merveilleusement ! Il est évident que même si c’est un socle cette érudition n’est qu’un prétexte, un piège où il s’immobilise avec grâce pour mieux broder ... Chacun sait qu’en sortant un peu du canevas on invente, Schwob invente donc sans bouger au milieu d’un piège !
Voilà donc qu’à partir de savoirs acquis (les grecs, Defoe et de sombres Anglo-saxons…) notre ami monte une sauce où l’imaginaire est l’ingrédient décisif, contournant le vrai pour trouver la vérité de ses sujets. Empédocle, Pocahontas, Paolo Uccello et une cohorte d’imaginés merveilleux… écumeurs de routes, bandits, assassins, jeunes filles enlaidies et gentilshommes de fortune... Toutes ces vies rassemblées et évoquées dans de minces notices biographiques au style sec et coupant d’un classicisme avéré et sybarite au milieu des follets abscons symbolistes de l’époque ! Sobriété presque clinique au service de toutes ces vies évoquées. Vies pleines de stupeur et de cruauté morbide, d’horreur confirmée et d’où se dégage un charme obscur. On notera une fascination pour les corps, pour les corps vivants ou … morts … pendus et déjà noirs au bout d’une corde ! Une fascination pour les étoffes qui entourent les corps chauds ou froids… Garni de choses finalement assez bizarres le père Schwob. On notera également une prédilection bienveillante pour les exclus et les errants, pour cette sourde famille en dehors de la société où les individus ne valent que part aux mêmes en dehors de toute organisation sociale et de toute préoccupation matérielle ; anarchisme ontologique de Marcel Schwob ! Il finira mort assez jeune en « aventurier passif » et sa descendance littéraire ne finira plus d’enfler de Borges à Pierre Michon (en passant par l’azimuté Artaud et son Uccello à lui.) Constatation : le flow deleuzien parfois fourche et Schwob n’est pas Umberto Eco, assurément et bienheureusement.
Publié par Philippe L à 7.12.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
6 décembre 2009
Lucide
« Et tout à coup ce filet d’eau sur un volcan, la chute mince et ralentie de l’esprit. »
(Antonin Artaud, le Pèse-nerfs)
Publié par Philippe L à 6.12.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
30 novembre 2009
Autoérotique
Alors, bon que faire pour préserver ce secret ? Trouver un magasin de lingerie fine et se mettre à la recherche d’un mono soutien-gorge, éviter le regard suspicieux d’une vendeuse commissionnée et retorse, inventer un stratagème, tout un art de l’esquive et de la dissimulation ; une vraie raison de vivre.
Publié par Philippe L à 30.11.09 1 commentaires
Libellés : Monsieur Hermès et moi
29 novembre 2009
Puéril
Publié par Philippe L à 29.11.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
26 novembre 2009
Fatigué
(Paul Valéry, L’infini esthétique)
Publié par Philippe L à 26.11.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
23 novembre 2009
Manuel
Publié par Philippe L à 23.11.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
22 novembre 2009
Désinvolte
Publié par Philippe L à 22.11.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
19 novembre 2009
Italique
Publié par Philippe L à 19.11.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
16 novembre 2009
Bougonnant
P.-S. L’enchainement n’est pas si saugrenu que ça puisque Bachelard fut le témoin de mariage de Dutourd Jean (ce qui ne s’invente pas). J'attends les cailloux.
Publié par Philippe L à 16.11.09 2 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
13 novembre 2009
Inquiétant (Je suis)
En attendant d'arriver à bon port, je picore chez Bachelard et dans sa Poétique de la rêverie, un livre de chevet qui supporte très bien grain et roulis.
Publié par Philippe L à 13.11.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
12 novembre 2009
Embarrassé
Mars de Fritz Zorn. Je tournai autour depuis longtemps en le redoutant. Avec raison puisque lecture faite ce livre est effectivement redoutable, voir plus.
Publié par Philippe L à 12.11.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
11 novembre 2009
Rêveur
(George du Maurier, Peter Ibbetson)
Publié par Philippe L à 11.11.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
9 novembre 2009
Glandulaire
Pour ce qui est des péripéties, entre les pogroms et le Collège de France, Voronoff avait commencé par tester sur lui-même ses revigorantes expériences. En 1889 il s’était injecté des tissus de testicules de cochon d'inde dans le scrotum avec un résultat problématique puisque nul quant à la vigueur. Pas découragé il s'oublia (et les cochons d'inde avec) un peu par la suite et poursuivis ses bidouillages sur d'autres bestioles moins rabat-joies... moutons, chèvres, taureaux... Les testicules de ces bestioles jeunes et pimpantes étaient transplantés sur d'autres, plus décrépites et ramollies avec cette fois-ci un résultat totalement concluant : les vieux boucs revivaient à la lubricité et Voronoff décida de passer derechef à l'étape suivante : l'homme et son corps spongieux !
Notre toubib madré commença par pratiquer la transplantation de testicules de criminels fraîchement exécutés sur des millionnaires rabougris. Le succès fut tel qu'il fut bientôt à court d'assassins assassinés ! Avec bonheur il utilisa alors en « remplacement » des testicules de chimpanzés et de babouins (on y vient) !
Au début des années 1930, des milliers d'hommes avaient ainsi été traités par les techniques revigorantes de Voronoff. Pour faire face à la demande, il fit bâtir sa propre ferme à singes à Menton et il employa un ancien gardien de cirque pour gérer et diriger le tout.
Ensuite ce fut le Collège de France et bizarrement le discrédit, un procès en charlatanerie et en psychosomatisme que rien ne pouvait laisser prévoir. Nous resterons silencieux quant à cette disgrâce que ne méritait visiblement pas le bon Docteur Voronoff.
P.-S. Outre une vigueur toute nouvelle, le traitement Voronoff était censé soigner la myopie, les troubles de la mémoire et la « dementia praecox » un bon remède en somme.
E. E. Cummings parle d'un « célèbre docteur qui insère des glandes de singe dans des millionnaires » (« famous doctor who inserts monkeyglands in millionaires »).
Dans les soirées chics des années vingt, les mots « glandes de singe » étaient sur toutes les lèvres.
Publié par Philippe L à 9.11.09 1 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
7 novembre 2009
Patagon
J’étais amoureux de la Patagonie bien avant ce triste individu, amoureux d’une terre inaccessible, d'une contrée inventée, d'une sorte de trouée poétique dans les brumes des mers du Sud, et Florent Pagny a souillé tout ça. Oui Florent Pagny est un tueur de rêves et il a une énorme dette envers les miens.
Publié par Philippe L à 7.11.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho, Ponctuation
6 novembre 2009
Chic
Publié par Philippe L à 6.11.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
4 novembre 2009
Fétichiste
L'amour est l'uniforme de mon infirmière dénudée.
Publié par Philippe L à 4.11.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
2 novembre 2009
Identitaire
Publié par Philippe L à 2.11.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
1 novembre 2009
Nocturne
Publié par Philippe L à 1.11.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
30 octobre 2009
Doux
Tais-toi. N’explique rien : Tais-toi...
J’ai suivi le conseil... J’ai connu l’irrésistible puissance de la douceur... Et j’ai appris à manger les oranges d’une certaine façon... »
(Valery Larbaud, A.O. Barnabooth)
Publié par Philippe L à 30.10.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
27 octobre 2009
Lucide
Publié par Philippe L à 27.10.09 4 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
26 octobre 2009
Cinétique
Publié par Philippe L à 26.10.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
24 octobre 2009
Bovien
(Emmanuel Bove, Armand)
Publié par Philippe L à 24.10.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
21 octobre 2009
Chargé
Je suis plus alcoolique qu'ecstazeux. L’ecstasy me fait tout chaud avec la bouche pâteuse ; cela favorise certainement le cunnilingus abrasif, mais c’est parfois gênant pour qui affectionne une pratique plus lustrée.
Publié par Philippe L à 21.10.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
18 octobre 2009
Transtextuel
Publié par Philippe L à 18.10.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
16 octobre 2009
Soviétique
Publié par Philippe L à 16.10.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
11 octobre 2009
Triste
Publié par Philippe L à 11.10.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
9 octobre 2009
Cubiste
Publié par Philippe L à 9.10.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
7 octobre 2009
Psychopathe
Méthodiquement je prépare une bâche et une scie égoïne pour demain soir. Moi je « travaillerais » en silence.
Publié par Philippe L à 7.10.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
5 octobre 2009
Nabokovien (bis)
(Valery Larbaud, Des prénoms féminins)
Publié par Philippe L à 5.10.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho, Grand retour du monde
1 octobre 2009
Insubmersible
« L'immersion chasse pour un temps les simulacres et conduit vers cet ailleurs éclairé des formules tragiques de la création »
Le sous-marin est un beau véhicule qui outre la navigation subaquatique ouvre moult écoutilles digressives. On se retrouve ainsi plongé dans les confidences d'un marin à la sexualité plus déviante que ma main droite, dans les souvenirs d'un autre happé par la fatalité dégueulasse du groupe, le nazisme, les origines du nazisme, ce genre de chose... mais toujours dans une pâte légère et impressionniste, avec du mystère et un beau style (poétique et désuet ?). Le sous-marin est un lieu favorable à l'introspection et à ses épanchements, une fois échoué sur une île tropicale qui passait par là, il n'est plus qu'un objet hétéroclite autour duquel tourne deux trois sauvages. Conrad et Kurtz rodent et le panthéisme avec.
On dira que tout ça commence chez Jules Verne, passe par Gracq pour mieux finir chez Conrad.
N. B. Les deux dernières pages en forme de pirouette sont ratées et trop malignes pour être honnêtes , c'est dommage le reste est presque impeccable.
Publié par Philippe L à 1.10.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
29 septembre 2009
Houellebecquien
N. B. Michka s’invente (se libère, on trébuche moins ) sur la fin où on sent qu’il pourrait éventuellement devenir un « vrai » écrivain (Il faudrait qu’il « tombe » malade).
Publié par Philippe L à 29.9.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
27 septembre 2009
Architectural
P.-S. Que Dieu nous préserve de Ludivine Sagnier et de son tronc !
Publié par Philippe L à 27.9.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
23 septembre 2009
Giscardien
Publié par Philippe L à 23.9.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde, Sports et divertissements
20 septembre 2009
Dominical
Amen.
Publié par Philippe L à 20.9.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
19 septembre 2009
Mystique
(Henri Suso, 1296-1366)
Publié par Philippe L à 19.9.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
16 septembre 2009
Pleutre
P.-S. Ne me parlez surtout pas de ces journalistes, professeurs et autres ingénieurs agronomes qui encombrent le secteur.
Publié par Philippe L à 16.9.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
14 septembre 2009
Ouistiti
Publié par Philippe L à 14.9.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
9 septembre 2009
Déplumé
Broyer des bousiers dans de l’alcool et appliquer sur les parties chauves.
Deux jaunes d'œuf additionnés de feuilles de figuiers séchées et réduites en poudre. On fait une application quotidienne de cette pâte, qui illico stoppe la chute des cheveux.
NB : D’après un article de A. Raymond Mills, Bulletin of the History of Medicine, Johns Hopkins Institute.
Publié par Philippe L à 9.9.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
8 septembre 2009
H1N1
Il y bien un remède plus doux, un remède grec, il suffit de frotter votre corps avec de la laine brute imbibée de paprika et de mastika. Les ingrédients sont plus difficiles à trouver, mais cette méthode a l’immense avantage de vous laisser en vie et plein d’initiative face à une existence qui s’annonce encore bien longue.
Pour ce qui est de la conjonctivite, je vous conseillerai de vous laver l'œil avec de la sève de vigne, voir faute de mieux avec de l’urine d’homme ou de vache. Cependant, il faut savoir que dans certains cas il y a d'infimes risques , un ophtalmologue de droite (et de mes amis) a constaté (penaud) l’apparition d’une double conjonctivite à gonocoque chez l’un des patients à qui il avait prescrit ce traitement radicalement naturel. Pour l'anecdote, le patient a perdu la vue ce qui est presque dommage s’agissant d’un peintre.
Demain nous aborderons le traitement de la calvitie.
Publié par Philippe L à 8.9.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
6 septembre 2009
Humide
L’humeur était si nympholepte que l'on pouvait d’ici sentir l'odeur de la savonnette et du cachot réunis.
Publié par Philippe L à 6.9.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
1 septembre 2009
Chauve
Publié par Philippe L à 1.9.09 0 commentaires
Libellés : Je suis photogénique
31 août 2009
Pneumologue
Publié par Philippe L à 31.8.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
28 août 2009
Elapidé
Publié par Philippe L à 28.8.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
26 août 2009
Nabokovien
« Il y a une espèce de papillon, les palingenia, dont on n'a jamais vu la femelle. C'est qu'elle est fécondée avant même d'avoir pu se débarrasser de son corset de nymphe, et qu'elle meurt, les yeux encore fermés, mère à la fois et poupon en maillot. »
(Remy de Gourmont, Physique de l'amour)
Publié par Philippe L à 26.8.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
25 août 2009
Dandy
Publié par Philippe L à 25.8.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
24 août 2009
Anthropomorphique
La réserve de la vierge devant le quadragénaire érotomane est d'une pudeur bien modérée si on la compare à la fuite éperdue de la jeune taupe devant la vieille taupe en rut.
Publié par Philippe L à 24.8.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
23 août 2009
Pompidolien
Publié par Philippe L à 23.8.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
10 août 2009
Nyctalope
Publié par Philippe L à 10.8.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
6 août 2009
Ombrageux
Publié par Philippe L à 6.8.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
2 août 2009
Voyageur
PS : Ah oui sinon ! Question Irlande, il faut lire Nicolas Bouvier et les îles D’Aran.
Publié par Philippe L à 2.8.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
22 juillet 2009
Misanthrope
Ps : En le lisant, on imagine sans peine un Montherlant plus misanthrope que ma main droite. Bref un sale con !
Publié par Philippe L à 22.7.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
20 juillet 2009
Fluet
Le livre est court, il sera fini demain. Green est des miens.
Publié par Philippe L à 20.7.09 2 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
19 juillet 2009
Somnolent
Publié par Philippe L à 19.7.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
18 juillet 2009
Joyeux
Publié par Philippe L à 18.7.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
17 juillet 2009
Moyen-oriental
Publié par Philippe L à 17.7.09 2 commentaires
Libellés : Monsieur Hermès et moi, Solitude du lecteur de fond
12 juillet 2009
Historique
Publié par Philippe L à 12.7.09 0 commentaires
Libellés : Drôle d'écho
11 juillet 2009
Bibliothécaire
Publié par Philippe L à 11.7.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
6 juillet 2009
Vaniteux
Publié par Philippe L à 6.7.09 1 commentaires
Libellés : Ponctuation
30 juin 2009
Capillaire
Publié par Philippe L à 30.6.09 2 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
27 juin 2009
Contemplatif
Publié par Philippe L à 27.6.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
26 juin 2009
Bambi
Publié par Philippe L à 26.6.09 1 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
25 juin 2009
Oisif
Que diluer l’âme,
Vers la disparition.
Publié par Philippe L à 25.6.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
24 juin 2009
Lacrymal
Publié par Philippe L à 24.6.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
20 juin 2009
Décevant
Publié par Philippe L à 20.6.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
19 juin 2009
Alcoolisé
NB : 446 pages, livre de poche 1969, trois courts romans ou trois longues nouvelles, j’ai lu 82 pages et bu trois bières, il me reste donc 13 bières à boire et 364 pages à lire. Problème mon pack de Corona est vide. J’ai vais donc me rabattre sur celui de Grimbergen.
Publié par Philippe L à 19.6.09 2 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
17 juin 2009
Vétérinaire
« Un croisement danois et bull mastiff », précise Mitchum.
« Comme un poney ! »
« Enorme, qu’il était, l’enfoiré. »
Mitchum acquiesce. « Ouais, énorme, avec des yeux jaunes ! »
Voilà.
Publié par Philippe L à 17.6.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
15 juin 2009
Ponctuation
Quant au coq, je suis l’âne.
Publié par Philippe L à 15.6.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
9 juin 2009
Pipe
Alors que tout était réglé comme du papier à loustic, je ne sais plus où j’ai rangé mon référant pipe !
Publié par Philippe L à 9.6.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
8 juin 2009
Sexuel
Publié par Philippe L à 8.6.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
Ethnologue
Chez les Shans des hauts-plateaux il n’y a rien de bon à être occis par un éléphant qui passe car ce trépas là vous prive du paradis. - Il y a plus de félicité à être dévoré par un tigre car on devient à son tour tigre -. Les femmes Shans mortes en couches connaissent, elles, une éternité pour la moins désobligeante : elles se transforment en lamies et hantent les tombes. On les enterre, pieds retournés, talons en avant.
Dans l’archipel des Mariannes la mort violente conduit en enfer ; la naturelle au paradis.
Dans certaines parties de l’Océanie, le sort des trépassés en joué en famille : pair c’est le bonheur éternel ; impair, le perpétuel anéantissement.
A Tahiti les âmes s’en vont au hasard, sortent des corps, se dirigent vers une plaine… Là, il y a deux pierres. Selon que l’âme touche l’une ou l’autre pierre en premier, c’est soit la vie immortelle, soit la sempiternelle mort.
NB : Les lamies sont des démons ou spectres ayant la tête d'une femme et le corps d'un dragon ou d'un serpent. Ce délicat sobriquet nous vient de la reine de Libye, Lamia, qui fendait le ventre des femmes enceintes pour mieux se nourrir de leurs embryons.
Publié par Philippe L à 8.6.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
7 juin 2009
Artisanat
Je suis retourné en invisible chez le taxidermiste, la paille avait mauvais goût.
Publié par Philippe L à 7.6.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
4 juin 2009
Démocrate
Publié par Philippe L à 4.6.09 0 commentaires
Libellés : Grand retour du monde
28 mai 2009
Politicien
Beau « roman de formation ». Enfance étouffée par des parents plus guidés qu’une armée de cintres dépressifs. Découverte de la lecture, naissance de la sexualité (oui c’est un corps et il frémit !), jolies filles de chez Proust, de chez Bataille… Rugby (pas assez), tauromachie (bof), quiétude bourgeoise, mort qui rode et fin mélancolante (c’est un dernier roman). On oubliera la récente micro-polémique autour de Kléber Haedens car même si aveugle et honteusement détaché sous l’Allemand il n’y avait pas grand chose chez lui pour nous inciter à le fouetter plus que d’autres… avec Bébert, dans les caves de Sigmaringen.
Ps : Kléber Haedens n’est qu’un petit-maître élu de l’heureux petit nombre, vouloir lui offrir en hommage, lycée ou boulevard, me semble une sournoise manipulation de la droite UMP littéraire (Comme si ces gens là lisaient quoique ce soit).
Publié par Philippe L à 28.5.09 3 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
25 mai 2009
Fantomal
L’ex couard et intrépide tout nouveau chasseur de spectres pourra donc lire sereinement l’annuaire des fantômes anglais publié par la Scientific and Fantastic Society de Bristol, ce bottin, qui est aussi une mine, recense près de deux mille fantômes avec le caractère de chacun, ses manies et ses heures et lieux d’apparition préférés.
Publié par Philippe L à 25.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
Spectral
Publié par Philippe L à 25.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
24 mai 2009
Bucolique
Une chimie, douce, limpide noyant ma chair jusqu'ici d'homme de cette étrange nouvelle chair végétale.
Publié par Philippe L à 24.5.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
23 mai 2009
Noctambule
La nuit entière. Décolore et avale ses étoiles mates.
Publié par Philippe L à 23.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
18 mai 2009
Enigmatique
Chose énigmatique, comment conjurer nos instincts ?
Publié par Philippe L à 18.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
17 mai 2009
Capri (c’est fini)
Histoire de laisser les canons canonner en paix on étouffa le scandale en maquillant le suicide en crise cardiaque.
Capri fut également l’île de du Baron Jacques d'Adelswärd-Fersen. Comme tout écrivain (et même l’industrie) Il y fit aussi construire une villa bien à lui: la villa Lysis. Notre Fersen était le descendant du « beau Fersen » l’amant de Marie Antoinette. Poète chantre du rose et opiomane réputé il avait grandi dans le Paris de 1890, le Paris des décadents , et semblait avoir Robert de Montesquiou pour modèle. Après trois quatre scandales dont je vous épargnerai les détails notre baron s’était réfugié dans sa villa capriote en compagnie de quelques Apollons ; certains en bronze, d’autres plus palpables et vibrionnant. Un soir d’orage il semblait se prélasser, vêtu d’une robe de soie rose, sur les coussins roses de sa fumerie d’opium souterraine, lorsque l’un de ses vibrionnant Apollon le retrouva à demi inconscient : « Combien de grammes ? » hurla l'Appolon ! « Cinq », chuchota Fersen, et puis il mourût.
« Ce soir, je Chante l'opium,
L'opium illimité, l'opium immense...
Et je veux, rituellement, faire les révérences
Aux esprits des vieux fumeurs...
Conduisez donc mon pauvre cœur
A travers les splendides palais funéraires ;
Là je vivrai. Là je prierai ;
Gardé par les taciturnes colosses de pierre »
Nb : La fille de Krupp se prénommait Bertha, c'est elle qui a donné son nom au fameux canon allemand de la non moins fameuse « Grande Guerre. »
Ps : Bien avant Fritz Krupp notre Marquis De Sade à nous avait déjà pratiqué les grottes de Capri, mais c’était avec des filles.
Publié par Philippe L à 17.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
10 mai 2009
Interlude
Publié par Philippe L à 10.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
6 mai 2009
Hiboux
Publié par Philippe L à 6.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
1 mai 2009
Célibat
Publié par Philippe L à 1.5.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
30 avril 2009
Misogyne
Jugeons Ludivine Sagnier sur pièces :
Les seins sont époustouflants, les fesses d’un gabarit plus qu’acceptable. Bref, tout pour ravir l’érotomane qui sommeil en chacun de nous.
Il me reste une Vahina Giocante encore un peu fraîche. Faut-il que je vous l’emballe avec ?
Publié par Philippe L à 30.4.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
28 avril 2009
Boulevard
« Un seul détail obligatoire : Les décors, très réalistes, seront construits assez solidement pour que les portes puissent claquer. »
Des portes qui claquent, du mordoré sans UV et des zigotos vaguement incestueux qui s’agitent dans le fond. Du bon théâtre écrit voir de la « poésie de théâtre » comme disait l’autre ébouriffé cocaïnomane.
Publié par Philippe L à 28.4.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
14 avril 2009
Décevant
Je suis décevant est de plus en plus décevant (et vide.)
Publié par Philippe L à 14.4.09 1 commentaires
Libellés : Ponctuation
7 avril 2009
Cacochyme
NB : Je me demande comment le vieux Clint fait pour ingurgiter autant de bière(s) sans être plus ballonné que ça.
Publié par Philippe L à 7.4.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
2 avril 2009
Létal
Et là c’est la tuile ! Giono et ses deux cavaliers dans l’orage… coma quasi létal ! Giono est merveilleux en panthéiste amoureux de la nature, de l’inanimé, mais dès que l’animé (l’humain) pointe son nez voilà d’obscures histoires de cavaliers vaguement lutteurs en plein soleil… Avec du sursignifiant à foison, de la lourdeur métaphysique au coin des pages et un style, plus que minéral : lapidé par la lourdeur du symbolique.
NB : Quand Giono se contente de décrire les pierres et quand il oublie de « penser » c’est magnifique.
Publié par Philippe L à 2.4.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
22 mars 2009
Madeleine
Jeune, con , myope et n’ayant de surcroît jamais trempé la moindre pâtisserie, je confondais Madeleine Renaud et Madeleine Robinson.
Publié par Philippe L à 22.3.09 0 commentaires
21 mars 2009
Musical
Publié par Philippe L à 21.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
14 mars 2009
Panthéiste
Le « poétique » est chez Prévert, la poésie chez Grémillon. La lourdeur sociétale chez Prévert, le cosmique et le panthéisme chez Grémillon. Le monde chez Prévert, le monde des sentiments chez Grémillon. Bref des deux il faut préférer Grémillon.
Ps : C’est un grand film malade. Une grippe sournoise avec un virus A facilement localisable : Pierre Brasseur, cabotin plus que de raison.
Nb : Le scénario et les dialogues sont de Prévert (Jacques) le film est de Grémillon (Jean).
Publié par Philippe L à 14.3.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
12 mars 2009
Négatif
Porte bien son non, lacaniserai-je .
Publié par Philippe L à 12.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
11 mars 2009
Poulpes
Outre cette curieuse symphonie, boyaux éructant et membres chuintant, le récit de Guerin est pour l’instant très bien, farci de verve célinienne, comique et plein d’humanité ; l’homme ne se résout pas à se voir ainsi réduit à n’être q’un tuyau pour rien, alors l’homme lutte contre la plomberie, les miradors brumeux, les ombres en bottes luisantes et leurs hordes de canidés éduqués par et pour le mal… On se souviendra de Georges Hyvernaud, Jacques Perret ou Henri Calet ces autres chroniqueurs du stalag bien malgré eux… on n’évoquera pas Primo Levi ou David Rousset c’est une autre histoire… et bien plus que de la plomberie.
Publié par Philippe L à 11.3.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
4 mars 2009
Rien
Plus je supprime, plus je trouve.
Publié par Philippe L à 4.3.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
26 février 2009
Raide
Publié par Philippe L à 26.2.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
23 février 2009
Nuance
Publié par Philippe L à 23.2.09 1 commentaires
Libellés : Ponctuation
21 février 2009
Voilà
Publié par Philippe L à 21.2.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
14 février 2009
Biscornu
Au mitan de Jérôme je ne crains pas d’affirmer haut et fort que Jean Pierre Martinet = Dostoïevski + Gombrowicz + Boulgakov + John Kennedy Toole + Beckett + Chaval + Munch + Jean-Marc Reiser (ce qui ne gâche rien).
PS : Chez Martinet, chose étonnante, Paris est une ville russe… chez Martinet, autre singularité, les soliloques noyés forment une curieuse charpente biscornue.
Publié par Philippe L à 14.2.09 3 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
4 février 2009
Cinéphile
Publié par Philippe L à 4.2.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
1 février 2009
Râteau
« Un lourd silence s’abattit entre eux et recouvrit les plis transparents de la nuit comme un enfant mort étendu sur les genoux de sa mère »
Peut-ont accorder la moindre confiance à un écrivain se fourvoyant ainsi dans le plus plombé-plombant qui soit, un écrivain si sinistre et si dépourvu d’humour ? Paradoxalement après la lecture de Givre et Sang, je répondrais oui car ce qui compte chez Powys ce n’est pas la rigolade mousseuse sur le dos du lichen, mais plutôt le lyrico-cosmique, l’élémentalisme et l’eternelle revanche de l’inanimé.
« Avant la fin du jour, quelque chose changea visiblement dans la texture terne et décolorée du temps. Les flaques des chemins se transformèrent peu à peu en glace pourrie. Une mince couche de givre se figea sur les mares et les fossés des prairies. Des dessins pareils à des hiéroglyphes apparurent dans la boue des sentiers écartés. Au sommet des taupinières fraîches, se croisaient des empreintes qui trahissaient des passages plus impalpables encore que des traces de souris ou d'oiseaux, des traînées d'escargots ou de vers de terre. Les feuilles mortes qui s'étaient mollement amassées à l'entrée des vieux terriers moussus, ou sous les champignons à l'orée des bois, étaient maintenant soudées par un mince filigrane d'une substance blanche et cassante comme un métal qui tinte. Les filaments de brume suspendus aux roseaux jaunes au fond des fossés se durcissaient en frêles glaçons.(...) Un peu partout, se faisaient entendre des frémissements, des resserrements et des craquements légers, tandis que la croûte de la planète s'abandonnait à la contraction immobile du gel. »
NB : il n’y a qu’une seule chose de potentiellement drôle dans Givre et Sang c’est un outil : le râteau qui trucide le héros, on le retrouve inanimé (le râteau) trois pages après son funeste usage et le roman devient comique pendant un quart de phrase.
Publié par Philippe L à 1.2.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
27 janvier 2009
Lapin
J’attaquerais par le cœur.
Publié par Philippe L à 27.1.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
25 janvier 2009
Volleyeur
Publié par Philippe L à 25.1.09 0 commentaires
Libellés : Sports et divertissements
23 janvier 2009
Vivisection
NB : Il n’y a rien de plus beau que la « nature » chez John Cowper Powys.
Publié par Philippe L à 23.1.09 0 commentaires
Libellés : Solitude du lecteur de fond
20 janvier 2009
Impressionniste
Publié par Philippe L à 20.1.09 0 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
18 janvier 2009
Pianistique
Gould chez Mozart c’est plutôt Mozart chez Gould.
Publié par Philippe L à 18.1.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
17 janvier 2009
Présomptueux
le rêve mat d’une vie irrésolue
mais comme des nuages désœuvrés
nous avons trébuchés vers l’éphémère.
Publié par Philippe L à 17.1.09 1 commentaires
Libellés : Mausolée intérieur
14 janvier 2009
Nain
Publié par Philippe L à 14.1.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
9 janvier 2009
Pédestre
Publié par Philippe L à 9.1.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
8 janvier 2009
Gaulliste
Publié par Philippe L à 8.1.09 0 commentaires
7 janvier 2009
Nocturne
La sainte, l’ineffable, la mystérieuse Nuit.
Publié par Philippe L à 7.1.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation
4 janvier 2009
Ethylique
Loin des Athéniens zigzagants outre en main, lors des Purim, le Talmud enseigne que l’on doit boire jusqu’à ne plus reconnaître l’un des deux cris particuliers à la fête proposée : « Maudit soit Aman !» et « Beni soit Mardochée ! »
Chez les Chinois ancestraux on creusait des étangs que l’on emplissait de vin, sur ces étangs on aurait pu faire tournoyer des navires.
Publié par Philippe L à 4.1.09 0 commentaires
3 janvier 2009
Gulliver
Veronika Lake est délicieuse.
Publié par Philippe L à 3.1.09 0 commentaires
Libellés : Rainette Gluante
2 janvier 2009
Deleuzien
Ajoutons que j’ai survolé plus de milles plateaux et que cela ne fait pas un pli.
Publié par Philippe L à 2.1.09 0 commentaires
Libellés : Ponctuation