Le Journal de Valery Larbaud tient difficilement en main : ses 1600 pages, ses deux kilogrammes , son format géant et inusité propice à la crampe lectorale. Larbaud commence ses phrases en anglais, continue en italien pour mieux finir en français, c’est très bien : les trilingues sont ravis.
Au-dessus de tout ça, le délice est là, il faut savoir souffrir.
Au-dessus de tout ça, le délice est là, il faut savoir souffrir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire