30 avril 2009

Misogyne

Jugeons Ludivine Sagnier sur pièces :

Les seins sont époustouflants, les fesses d’un gabarit plus qu’acceptable. Bref, tout pour ravir l’érotomane qui sommeil en chacun de nous.

Il me reste une Vahina Giocante encore un peu fraîche. Faut-il que je vous l’emballe avec ?

28 avril 2009

Boulevard

Cocteau (Jean) et les parents terribles :

« Un seul détail obligatoire : Les décors, très réalistes, seront construits assez solidement pour que les portes puissent claquer. »

Des portes qui claquent, du mordoré sans UV et des zigotos vaguement incestueux qui s’agitent dans le fond. Du bon théâtre écrit voir de la « poésie de théâtre » comme disait l’autre ébouriffé cocaïnomane.

14 avril 2009

Décevant

Je suis décevant est de plus en plus décevant (et vide.)

7 avril 2009

Cacochyme

Le nouveau dernier Eastwood : Gran Torino (c’est une voiture) Un peu expectorations et grognements, un peu démonstratif, un peu de droite communauté et bactéries, un peu trop nœud fordien pour être malhonnête, un peu masochiste (as usual), un peu (souvent) émouvant, un peu (trop ?) testamentaire. Avec beaucoup de peu c’est quand même un bon film, avec deux trois séquences magnifiques (la « plongée » chez les H'mongs, le merlan transalpin et cette façon de faire durer le plan dans la tôle d’une baraque de chantier.)

NB : Je me demande comment le vieux Clint fait pour ingurgiter autant de bière(s) sans être plus ballonné que ça.

2 avril 2009

Létal

Les nouvelles de Marcel Aymé (tout le toutim chez Quarto) sont pour l’instant assez décevantes, cocasses sans plus, pas assez maîtrisées dans le sens de l’œuf tout à fait concocté, la maîtrise viendra plus tard… enfin je suppose. En attendant, à l’instar du chevalin d'outre-quiévrain, je me surprends à hennir un ferme et sonore : « au suivant ! »

Et là c’est la tuile ! Giono et ses deux cavaliers dans l’orage… coma quasi létal ! Giono est merveilleux en panthéiste amoureux de la nature, de l’inanimé, mais dès que l’animé (l’humain) pointe son nez voilà d’obscures histoires de cavaliers vaguement lutteurs en plein soleil… Avec du sursignifiant à foison, de la lourdeur métaphysique au coin des pages et un style, plus que minéral : lapidé par la lourdeur du symbolique.

NB : Quand Giono se contente de décrire les pierres et quand il oublie de « penser » c’est magnifique.