5 mars 2015

Traître

S’agissant des livres traduits d’une langue étrangère à la mienne, j’ai bien essayé de ne lire d’eux que les notes du traducteur en considérant le texte lui-même avec le dédain du cinéphile averti refusant le doublage, mais c’est une sorte de pis-aller un peu snob, ma lecture n’avance pas. N’étant pas plus germanophone que japonisant, je me suis donc fait une raison, tout en étant vaguement agacé je passe par la traduction : cette trahison nécessaire.

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