J’ai toujours trouvé captivante la quiétude des intérieurs bourgeois. Le lumpenproletariat sudoripare est lui plus souvent qu’à son tour peu passionnant
8 mars 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Publié par Philippe L à 8.3.08
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire