Le froid nous guette et le souffle n’est pas là. Même s’il y a du positif à vouloir vivre dans le vide d’une inspiration en berne il est parfois fatal de taire ce que l’on n’a pas à dire. Alors oublions ce positif là et ânonnons des paroles sans idées ; trop heureux qu’elles ne signifient rien.
16 septembre 2008
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