Sur l’herbe détrempée j’ai dessiné un profond soupir et me suis dissout dans la rosée.
Une chimie, douce, limpide noyant ma chair jusqu'ici d'homme de cette étrange nouvelle chair végétale.
Une chimie, douce, limpide noyant ma chair jusqu'ici d'homme de cette étrange nouvelle chair végétale.
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