La main de l’un dans le rêve de l’autre.
Le sommeil peut tirer des larmes à qui sait le regarder. Cet abandon, ce corps si docile, en sécession, cette respiration, ce souffle qui parle plus haut que la vie, ce rythme touchant et pacifique, sans haine, dans une confiance admirable où tout est livré, c’est l’inverse de la mort où tout se retire dans un vide monstrueux où tout n’est plus qu’un dans une unicité abjecte ; l’unicité abjecte d’une enveloppe vide qui ne songe plus.
Le sommeil peut tirer des larmes à qui sait le regarder. Cet abandon, ce corps si docile, en sécession, cette respiration, ce souffle qui parle plus haut que la vie, ce rythme touchant et pacifique, sans haine, dans une confiance admirable où tout est livré, c’est l’inverse de la mort où tout se retire dans un vide monstrueux où tout n’est plus qu’un dans une unicité abjecte ; l’unicité abjecte d’une enveloppe vide qui ne songe plus.
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