Lorsque je ne suis pas las et que la fatigue n’est pas là non plus je peux parfois développer deux trois idées, oh ! pas si savantes que ça, mais deux trois idées quand même. Par contre lorsque la fatigue est là et que je suis bien las, je ne suis plus qu’un corps ahuri où rien ne passe plus par le cogito, mais où tout passe par la sensation. Cet état d’extrême fatigue entraîne certainement d’incontestables et rares éclairs d’intelligence chez certains, mais la plupart du temps chez moi c’est l’intellect d’une méduse plus lymphatique que stupéfaite qui surgit mollement. Voilà un problème (ce court paragraphe en est la preuve).
13 mai 2011
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