Le Giono tardif est libéré des orages philosophiques qui embrumaient son style. Il ne lance plus de grandes invocations aux arbres, il les regarde simplement pousser au flanc des montagnes. Leurs feuilles reconnaissantes laissent passer pour lui les ombres et le soleil. Le panthéisme rôde.
18 mars 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire