Pour Gracq finir un livre c’est toujours une longue histoire. Il faut passer par des périodes de blocages qui peuvent durer, mais qui sont tout à fait nécessaires. La patience fait le reste. Pour Valery il suffit de ne pas s’énerver, d’entreposer ses doutes et se hésitations dans un coin de l’esprit. Au bout d’un moment, tout s’améliore, s’illumine de l’intérieur. Le livre donne l’impression de s’écrire tout seul.
25 janvier 2014
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