Paul Valéry. Cette intelligence pure qui jouit sans fin de son propre cerveau. Et puis tout ce blanc, cette lactescence.
20 février 2014
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Paul Valéry. Cette intelligence pure qui jouit sans fin de son propre cerveau. Et puis tout ce blanc, cette lactescence.
Publié par Philippe L à 20.2.14
Libellés : Solitude du lecteur de fond
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