Stendhal, journal. Eté 1810, l’ami Beyle est de plus en plus empli d’anglicismes, le voilà happy there, and happy. Tout cela est très chic, « l’heureux petit nombre » est ravi.
21 avril 2014
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Publié par Philippe L à 21.4.14
Libellés : Solitude du lecteur de fond
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