Pour Stendhal 1811 est une assez bonne année, pas de maladie à signaler alors qu’en 1810 une vérole et pire, en 1809, une vérole et DEUX chaudes-pisses. Il à 28 ans, vadrouille là et ailleurs, envoie des fleurs artificielles à Mme Daru, se regarde vivre avec délectation…
9 septembre 2014
Routinier
Publié par Philippe L à 9.9.14
Libellés : Solitude du lecteur de fond, Sports et divertissements
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