Pour Alexandre Vialatte Mauriac est un olfactif mené par l'odeur. Ses romans sentent la résine, la table de nuit mal aérée et les vieux papiers de notaires. Les chambres des veilles filles y trouillotent le suicidé tandis que les paliers reniflent immanquablement la fuite de gaz : « …de temps en temps, il ouvre la fenêtre, et on voit ciel. »
31 mai 2016
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