Quant aux « sentiments », je ne ressens pour ainsi dire plus rien. Mon cœur n’est plus cet organe chaud et prêt à la palpitation qu’il fut pendant des lustres, non ce n’est plus qu’une pierre, une lourde pierre qu’il me faut sans cesse porter. Voilà peut-être pourquoi je ne parviens plus à m’élever : j’ai une ancre nichée à l’intérieur du thorax.
15 janvier 2017
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