La littérature est tout autant une histoire de nez que de cogito. Mauriac sent la résine, la table de nuit mal aérée et les vieux papiers de notaires, Giraudoux sent l'aveline et l'humus, Vialatte sent l'encaustique et la mercerie auvergnate brumeuse, Walser sent le flocon de neige et la plume d’oreiller....
8 octobre 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire