L’ambassadeur Morand était souvent détaché et cynique, méfiant envers les idéologies. Il était surtout amoureux de sa femme, une princesse roumaine (Princesse Soutzo) antisémite et germanophile présentée par Proust. On murmure que Proust était, étrangement, amoureux de la dite princesse et que Morand, lui, se fit par la suite « homme de droite » par souci de quiétude matrimoniale. C’est tout Morand, lâche et veule, mais bon écrivain désinvolte.
9 mai 2008
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