Méditerranée, Mer des surprises de l’ambassadeur Morand. Au creux de deux cent pages pour l’essentielles, claires et fringantes, on notera quelques minimes lexies saumâtres et manifestement racistes. Le minimum étant en l’occurrence la lie du maximum et comme devant le mauvais rappel de tétanos perpétré avec une aiguille rouillée, on hurlera donc, encore une fois, Morand SALOPE !
30 mai 2008
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