3 janvier 2009

Gulliver

Sullivan's Travels de Preston Sturges.... soit, en gros, un proto bobo chez les hoboes. Dialogues crépitants et étincelants. Vraie fausse comédie grinçante mais vraie tragédie drôle… toujours ironique, sur les autres, mais surtout sur elle-même ; avec sa propre critique interne, mais sans être du post machin bidule démiurgique, plutôt de la malice bien placée, au-dessus de la morale, un peu à côté de la satire.
Veronika Lake est délicieuse.

Aucun commentaire: