Quittant un instant la grande génération de l’entre deux guerres (génération exhalant, selon certains, une tenace fragrance d’urine mal maîtrisée) me voilà seul face à l’homme de Roth. Une odeur de couloir d'hôpital et le son du sac mortuaire que l’on referme : ziiiiiiiiip ! Il faut bien que vieillesse trépasse.
26 février 2009
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