Et sa nuque fragile qu’on découvrait par instants nue, avec le renflement, touchant à voir, de deux tendons qui saillissaient sous la peau duvetée, couleur d’ambre clair, selon les mouvements de sa tête. Et la sérénité d’âme qui s’éloignait d’elle, de tout ce qui l’environnait, la rêverie, la tristesse ; ces chansons qu’elle chantait, un filet de voix douce…
28 juin 2010
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