On m’a toujours trouvé, dilettante, là sans être là, un peu à côté ou en dessus, c’est tout le « charme » de mon personnage dit-on… pourtant ce charme, mon or, je n’en fais rien, il se transforme en sable et le vulgum pecus ne me comprend pas. Si le vulgum pecus s’imaginait les efforts, le labeur que me coûte cette somme de légèreté, il me comprendrait peut-être ; en tous les cas il ne me reprocherait plus les ruines des châteaux que je n’ai jamais construits.
5 juin 2010
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