Robert Walser ne pouvait laisser une feuille, une enveloppe, une carte de visite, sans que ses mots envahissent tout ; s’il avait pu écrire sur la tranche d’un ticket de métro, il l’aurait fait.
Voilà
Voilà
Publié par Philippe L à 26.11.10
Libellés : Solitude du lecteur de fond
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