Marché trois kilomètres dans la neige. Prenant un raccourcit je me suis retrouvé surplombant la large route qui même chez moi ; les voitures en bas, j’avais l’impression d’être un maquisard hivernal traquant le nazi.
30 novembre 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Curieux, car au contraire de vous, dès que je marche longtemps, j'ai l'impression d'être la proie...
Plus je marche longtemps, plus je suis seul. Plus je suis seul, plus je suis « avec moi »…
Enregistrer un commentaire