La saison est curieuse, douce puis froide, froide puis douce. Il neige beaucoup, puis il ne neige plus du tout. C’est un peu comme si la Sibérie tombait à l’eau. Il y a de quoi rester dubitatif devant cet été indien dérangé par d’aussi inattendus que laconiques pics glaciaires. On ne sait plus sur quel pied gigoter, on ne sait plus s’il faut se réchauffer ou pas, s’il faut porter chandail ou chemisette. Bref, la perplexité météorologique règne et l’humeur est maussade.
12 décembre 2010
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