Lu le Bruges-la-Morte de Georges Rodenbach. Sorte de proto Vertigo, symboliste, sinistre et vaguement touristique. Assez plat comme le pays du même nom. On murmure, ici ou là, que le très peu guilleret Mishima aurait relu ce livre juste avant son fameux, et fatal, auto coup de surin. Oserais-je dire que je ne suis même pas étonné ?
20 décembre 2010
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