La Rome d'Hippolyte Taine n’est pas celle de Stendhal, elle est beaucoup plus sale ; une saleté de bric-à-brac, avec des toiles d’araignées, l’odeur du moisi et la vue de toutes ces choses autrefois précieuses maintenant laissées à l’abandon : « dédorées, mutilées, dépareillées ». Elle ressemble à l’atelier crasseux d’un vieux peintre mal peigné qui aurait fait faillite. Tout cela vous donnerait presque des idées funestes.
18 juin 2012
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