Et je disais après tout, le souffle cérébral – ce que Landrin présentera comme inspiration - est bien une espèce de pensée comme éclair. C’est même une pensée à célérité absolue. C’est à dire qui va vers le plus profond et qui embrase, qui a une oscillation maximum et qui procède comme en un éclair. Il y a un étonnant livre de Baruch Spinoza qui s’appelle « L’éclair de Landrin ».
15 juin 2008
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