11 août 2008

Olympique

Pour oublier ce « con de Coubertin » et les Jo qui avancent à grands pas cupides, il faut lire la Chine en folie de ce bon Albert Londres. On y trouve beaucoup de cacophonie et dans un désordre plus que mal peigné, moult mercenaires, quelques bandits, d’incontestables provinces autonomes, une guerre civile, un empereur, deux présidents de la République, trois super-dictateurs et dix-huit moyens tyrans…

On imagine sans peine que ce grand bordel généralisé est loin de l’efficacité du parti communiste chinois et de son plus de« temps de ciboulot disponible » supporté à bout d’exhalaison par la firme de boissons gazeuses localisée à Atlanta. Un terrifiant caducée à deux têtes que cette paire là, pire que la machine de l’oncle Jarry, bien pire.

Ah ! oui au fait, au-delà du super dénonciateur en chef Albert Londres était quand même aussi (et surtout ?) un drôle de zigoto, drôle… très très drôle.

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