Luc Dietrich ne dormait jamais vraiment, il ne s'éveillait jamais vraiment non plus. Il lui arrivait seulement de sommeiller debout les yeux grand ouverts tout en vaquant à ses occupations quotidiennes. Ainsi, on pouvait le voir avancer dans le monde avec des gestes de nageur et des pas de somnambule.
Grâce à cet état flottant il n'avait pas à chercher un quelconque halo poétique, il lui venait naturellement.
N-B. On notera néanmoins que cet « état flottant », cet état poétique, attirait plus d'inconvénients que d'avantages à notre homme puisque ce dernier était, aussi et surtout, un homme de la rue ; cette rue qui est pleine de danger pour qui subit la douce vérité du rêve et de la narcolepsie réunis.
Grâce à cet état flottant il n'avait pas à chercher un quelconque halo poétique, il lui venait naturellement.
N-B. On notera néanmoins que cet « état flottant », cet état poétique, attirait plus d'inconvénients que d'avantages à notre homme puisque ce dernier était, aussi et surtout, un homme de la rue ; cette rue qui est pleine de danger pour qui subit la douce vérité du rêve et de la narcolepsie réunis.
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