« J'ai connu autrefois un pauvre homme qui, par scrupule, n'a jamais voulu coucher chez lui, disant que son nom était un nom à coucher dehors. Ce souvenir ne m'est pas désagréable. »
(Erik Satie, Ecrits)
Dans certaines villes africaines, les rues ne sont pas devant les maisons, mais à l'intérieur. Elles passent de la cuisine de l'un à la chambre à coucher de l'autre. Les gens ne sont chez eux qu'à leurs très rares fenêtres. Cette conception burlesque de l'urbanisme entraîne moult quiproquos amusants. Le « quidam africain » est par exemple tout à la fois, sorti et rentré, dehors et chez lui, et bien qu'il passe toutes ses nuits dans la rue, il ne découche jamais !
(Erik Satie, Ecrits)
Dans certaines villes africaines, les rues ne sont pas devant les maisons, mais à l'intérieur. Elles passent de la cuisine de l'un à la chambre à coucher de l'autre. Les gens ne sont chez eux qu'à leurs très rares fenêtres. Cette conception burlesque de l'urbanisme entraîne moult quiproquos amusants. Le « quidam africain » est par exemple tout à la fois, sorti et rentré, dehors et chez lui, et bien qu'il passe toutes ses nuits dans la rue, il ne découche jamais !
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2 commentaires:
C'est les vacances et je reprends la lecture de votre blog sans comprendre pourquoi je l'avais arrêtée - c'est toujours très bien, d'une grande élégance.
merci
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