La chaleur toujours là, je reste ouvert matinalement à tout vent.
Afin d'éviter le fracas d'un appel d'air tout autant violent qu'inattendu, j'ai bloqué l'une de mes fenêtres avec un épais volume de Stendhal (collection l'intégrale, au Seuil). Le résultat ne manque pas d'efficacité puisque l'air passe sans risque et à foison dans mon intérieur. Seul problème, ce mot du réputé grenoblois inscrit au dos de ma cale fenêtre improvisée : « Tout bon raisonnement offense ». Voilà que les passants qui passent ne manquent pas de regarder tout cela, ma fenêtre calée, mon intérieur livresque… Pour un peu je pourrais même les entendre marmonner : « Encore un intellectuel ! Qui ferait mieux de travailler ! » S'ils savaient !
P.-S. Mes autres fenêtres sont respectivement calées par le Petit Robert et par un vieux bottin ; elles ne donnent pas sur la rue.
Afin d'éviter le fracas d'un appel d'air tout autant violent qu'inattendu, j'ai bloqué l'une de mes fenêtres avec un épais volume de Stendhal (collection l'intégrale, au Seuil). Le résultat ne manque pas d'efficacité puisque l'air passe sans risque et à foison dans mon intérieur. Seul problème, ce mot du réputé grenoblois inscrit au dos de ma cale fenêtre improvisée : « Tout bon raisonnement offense ». Voilà que les passants qui passent ne manquent pas de regarder tout cela, ma fenêtre calée, mon intérieur livresque… Pour un peu je pourrais même les entendre marmonner : « Encore un intellectuel ! Qui ferait mieux de travailler ! » S'ils savaient !
P.-S. Mes autres fenêtres sont respectivement calées par le Petit Robert et par un vieux bottin ; elles ne donnent pas sur la rue.
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