Je ne sais pas si c’est un mauvais signe, mais je me suis endormi quatre fois sur les cinq premières pages du nouveau Houellebecq. Il y est question d’une sombre histoire de plomberie — assurément passionnante —, mais cela ne m’a pas empêché de me retrouver absorbé par mon canapé et dans un tel état hypnagogique que j’ai bien cru trépasser trois fois.
26 septembre 2010
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