Ayant un peu voyagé, je pense que mon vrai pays est une ligne courbe, une ligne courbe - largement dense - que l’on pourrait tracer de Bordeaux à Prague ; une courbe qui passerait par Guéret, Lyon, Milan, Venise, Vienne, Budapest… Je suis de cette courbe là plus que d’un pays qui ne m’inspire rien, si ce n’est un ennui crispé.
18 novembre 2010
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2 commentaires:
et Sainté ?
... dans la courbe, camarade.
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