Le Garnier achevé et bien achevé j’ai entamé la lecture du Bel Eté de Cesare Pavese. J’en ai lu une centaine de pages tout en me sifflant deux, trois Coronas à l’ombre du jardin. Les Coronas étaient fraîches, le Pavese un peu emmerdant. Une histoire plan-plan de pimbêches vaguement pucelles. J’envisage la suite avec un peu de crainte, le « romanesque » m’endort de plus en plus et j’aurais peut-être dû m'orienter vers le journal de Cesare : Le Métier de vivre qui a de très bons échos ici ou là...
NB : 446 pages, livre de poche 1969, trois courts romans ou trois longues nouvelles, j’ai lu 82 pages et bu trois bières, il me reste donc 13 bières à boire et 364 pages à lire. Problème mon pack de Corona est vide. J’ai vais donc me rabattre sur celui de Grimbergen.
NB : 446 pages, livre de poche 1969, trois courts romans ou trois longues nouvelles, j’ai lu 82 pages et bu trois bières, il me reste donc 13 bières à boire et 364 pages à lire. Problème mon pack de Corona est vide. J’ai vais donc me rabattre sur celui de Grimbergen.
2 commentaires:
La lecture fatigue le foie, c'est connu.
(bonjour tout le monde)
Ce qui est bien chez Pavese c'est Dialogue avec Leuco adapté par Jean-Marie Straub, c'est comme ça que je l'ai découvert.
Sinon, je viens justement de commencer Le Métier de vivre.
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