19 juin 2009

Alcoolisé

Le Garnier achevé et bien achevé j’ai entamé la lecture du Bel Eté de Cesare Pavese. J’en ai lu une centaine de pages tout en me sifflant deux, trois Coronas à l’ombre du jardin. Les Coronas étaient fraîches, le Pavese un peu emmerdant. Une histoire plan-plan de pimbêches vaguement pucelles. J’envisage la suite avec un peu de crainte, le « romanesque » m’endort de plus en plus et j’aurais peut-être dû m'orienter vers le journal de Cesare : Le Métier de vivre qui a de très bons échos ici ou là...

NB : 446 pages, livre de poche 1969, trois courts romans ou trois longues nouvelles, j’ai lu 82 pages et bu trois bières, il me reste donc 13 bières à boire et 364 pages à lire. Problème mon pack de Corona est vide. J’ai vais donc me rabattre sur celui de Grimbergen.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La lecture fatigue le foie, c'est connu.

Murielle Joudet a dit…

(bonjour tout le monde)

Ce qui est bien chez Pavese c'est Dialogue avec Leuco adapté par Jean-Marie Straub, c'est comme ça que je l'ai découvert.
Sinon, je viens justement de commencer Le Métier de vivre.