L'un des Comtes de Conversano, dans les Pouilles, avait pris la sage résolution de faire disparaître ses ennemis les plus encombrants. Pour ce faire, il les faisait trucider, puis écorcher, par une petite armée adroitement recrutée. On utilisait ensuite la peau des trucidés pour recouvrir les fauteuils de la grande salle du château . Il y en avait un dont le dossier était recouvert par la peau d'une religieuse. Aujourd'hui l'amateur de curiosité qui s'approche de ce fauteuil peut encore distinguer la trace de ses seins, usés et cirés par l'usage.
P.-S. À Vérone, les seins de Juliette sont usés par les palpations libidineuses des touristes japonais c'est moins gênant, il s'agit d'une statue.
P.-S. À Vérone, les seins de Juliette sont usés par les palpations libidineuses des touristes japonais c'est moins gênant, il s'agit d'une statue.
1 commentaire:
L'écrivain MALAPARTE décrit, de Finlande, ces horreurs italiennes dans son livre KAPUTT (page 527.chapitre XVII.SIEGFIED ET LES SAUMONS). Dans ce domaine il n'y a pas de hiérarchie possible. Un livre à recommander et à faire lire sans modération. Justin39.
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