Chacun cherche l’inspiration où il peut. Voltaire la cherchait dans l’excitation du café, Eschyle et Aristophane dans le vin… Buffon ne pouvait écrire qu’habillé élégamment. Villiers de L’Isle-Adam ne pouvait écrire qu’à plat ventre. Son confrère décadent, Hugues Rebell louait une chambre d’hôtel et n’en sortait qu’une fois son livre achevé. Corneille ressassait ses tragédies dans une quasi-obscurité tandis que Schiller cachait des pommes pourries dans le tiroir gauche de sa table de travail ; il les sortait, les sentait puis il se mettait au travail.
Chez les musiciens Gluck faisait transporter son clavecin au milieu d’un pré, il buvait deux, trois bouteilles de champagne, puis inspiré il composait. Haydn, comme Buffon, ne pouvait travailler qu’en tenue raffinée, il lui fallait également porter au doigt une bague ornée d’un volumineux diamant. Toutes conditions réunies il écrivait alors sans jamais s’arrêter, pendant cinq, six heures, des jours entiers…
Mozart était comme saisi par l’inspiration, elle lui arrivait à l’improviste. Il lui fallait alors s’épancher ; c’ était un problème en société.
Voilà.
Chez les musiciens Gluck faisait transporter son clavecin au milieu d’un pré, il buvait deux, trois bouteilles de champagne, puis inspiré il composait. Haydn, comme Buffon, ne pouvait travailler qu’en tenue raffinée, il lui fallait également porter au doigt une bague ornée d’un volumineux diamant. Toutes conditions réunies il écrivait alors sans jamais s’arrêter, pendant cinq, six heures, des jours entiers…
Mozart était comme saisi par l’inspiration, elle lui arrivait à l’improviste. Il lui fallait alors s’épancher ; c’ était un problème en société.
Voilà.
1 commentaire:
Berlioz cherchait et trouvait l'inspiration en respirant l'odeur d'un sac de merde...
(Dixit Ponge)
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